J’en parlais encore ce matin avec une éducatrice qui a travaillé en RDC (République Démocratique du Congo).
Tout y est possible, le pire comme le meilleur. Le pire, avec les enfants abandonnés ou maltraités physiquement et psychologiquement, le meilleur avec toutes les bonnes actions immédiates possible puisque rien n’y fait barrage.
L’éducatrice me disait qu’elle a voulu créer une école, et le lendemain des enfants affluaient !
Notre modèle culturel français s’effondre, il faut le voir.
Par une prise de conscience réelle et profonde et par l’action, nous pouvons inverser cette pente. Que ceux qui profitent du système arrêtent de le faire car ils en seront victimes à un moment donné aussi.
Le système nous étouffe, alors il faut l’améliorer là où ça coince. Ensemble, levons-nous et agissons. Pour nos enfants, pour nous.
Hier je parlais de la mort annoncée du tennis français. Un autre est en marche, et chaque petit pas compte (c’est le principe du déplacement au tennis aussi-)
De belles énergies saines, créatives, agiles, courageuses et optimistes sont nécessaires et inspireront nos enfants. Ce premier plan humain et primordial.
Nous avons besoin d’éducateurs, de métier et de coeur.
Eduquer est un métier, pour lequel, il existe peu de formations. Même les enseignants -qui devraient s’appeler éducateurs puisque leur employeur est l’Education Nationale, non ?- ne sont pas formés à ce métier.
Ensuite, ils accompagneront le sport de leur choix. Mais je le répète dans le diplôme « éducateur sportif » il devrait y avoir le métier d’éducateur.
Le sport est bon pour l’Homme, il peut y trouver la globalité holistique pour devenir un individu qui se tient bien debout.