Encore une liberté qui nous est ôtée !

Je sors un peu de mon thème de coaching mental pour vous parler de quelque chose de grave et essentiel dans notre monde actuel : des libertés essentielles nous sont subtilisées, l’une après l’autre, dans le silence et l’indifférence alors qu’elles nous touchent tous.

La liberté du jour est celle du choix d’instruire son enfant.

Un jour ou l’autre, quelqu’un de votre entourage aura le besoin de ne pas mener son enfant (âgé entre 3 et 16 ans) à l’école, pour raison diverse et non condamnable. Eh bien c’est désormais interdit.

Je vous explique mon coup de colère, une fois n’est pas coutume. Et en tant que coach mental, je peux dire que cette colère est saine, dictée par mes aspirations à me battre pour les libertés individuelles.

Oui vous lisez bien INTERDIT. Une poignée de députés incompétents sur le sujet, ont voté cette loi, il y a deux étés, pour des millions de Français – alors que ces derniers étaient en vacances !-

Bien sûr, ce n’est pas présenté de la sorte. Ce n’est pas présenté du tout en fait. On passe sous silence, les lois qui amputent nos Libertés. Vous imaginez une présentation au journal de 20h « nous avons supprimé la possibilité aux familles de choisir le mode d’instruction de leur enfant. » Pas très vendeur comme slogan.

On nous présente le fait que l’EN donnera son autorisation sur l’instruction.
Je peux en parler puisqu’elle nous a été refusée. Et pourtant je suis spécialiste dans le domaine de l’Education et plus particulièrement des pédagogies depuis 30 ans et j’ai éduqué trois garçons déjà.

Mais ce n’est pas pris en compte. Rien n’est pris en compte d’ailleurs. Vous n’existez pas, à part en tant que numéro.
L’EN vous envoie une lettre type (truffée de fautes d’orthographes comme quoi ils auraient mieux fait d’être instruits en famille et auraient appris l’orthographe !) photocopiée. La même envoyée à toutes les familles qui osent tenter l’IEF.

Dans cette lettre, on vous écrit qu’il fallait décider au mois de mai si on ferait l’instruction en famille ou non. Et si vous le décidez un autre jour de l’année que celui qu’ils veulent, c’est mort.
Mais de toute façon, ils ont l’autre lettre pour ceux qui seraient dans les clous pour le calendrier. Dans cette autre lettre, on vous indique de ne pas satisfaire aux exigences. Les leurs. Taisez-vous et obéissez, comme vos enfants doivent le faire en classe !

Dans quelques années, nos enfants et petits-enfants poseront la question sur cette liberté essentielle que presque tous les Français ont accepté de perdre, votée par une poignée d’incapables, sous la houlette d’un président qui n’a jamais élevé ni éduqué d’enfant.

Si cette liberté vous touche, alors dites-le et faites circuler l’information.
Nous  devons nous battre, comme l’ont fait nos ancêtres, pour construire un monde plus tolérant et ouvert.

En illustration sonore, engagée, forte et joyeuse, je partage cette vidéo, d’une famille française, concernée par le choix de l’éducation de ses enfants.

A partager aussi, si vous aimez. Merci de m’avoir lue.