Ce qu’il y a de beau dans les JO, vu de l’extérieur

Alors que nous sommes déjà à mi-parcours des JO à Paris, je ne résiste pas à partager mes pensées  sur plusieurs points à commencer par le positif.

  1. Les images de retransmission sont superbes. Bravo et merci à tous les professionnels et surtout les techniciens. Quand on peut voir des ralentis, c’est doublement la joie pour nous les téléspectateurs.
  2. La majorité des sportifs nous montrent des images de fairplay, de soutien, d’échanges positifs, d’attitude inspirantes.
  3. La jeunesse qui se dégage des compétiteurs est un souffle qui rayonne positivement.
  4. Le degré de technicité des uns et des autres, chacun dans sa discipline me laisse pantoise.
  5. Parfois, on peut voir une partie de l’équipe entourant le sportif. Car être un grand champion ne se fait pas seul ni subitement, c’est souvent l’aboutissement d’une dizaine d’années d’efforts et d’intensité au sein d’une équipe ayant défini un objectif commun.
  6. La découverte de pays dont un représentant pointe le bout de son nez à une compétition m’aide à relativiser la représentation internationale des JO.

Voyons maintenant ce qui pourrait être amélioré lors de futurs JO.

  1. Les délais d’affichage de résultats ou de scores sont très lents. Bravo l’informatique !
  2. Le cirque de retransmissions que l’on doit traquer sur les chaînes est peu respectueux des téléspectateurs.
  3. Les publicités n’en parlons pas. Personnellement je regarde les JO, son à 0. Je n’entends ni les sifflements, ni la liesse, ni les commentaires. Et je ne subis que les images des publicités que les chaînes n’hésitent pas parfois à nous diffuser en boucle !
  4. Le fait qu’on nous bascule d’un sport à l’autre en plein match vous en dit long sur le respect des sportifs et des téléspectateurs de nouveau.
  5. Parfois, on aimerait voir le nom de l’athlète qui exécute des prouesses, les dossards n’étant pas toujours lisibles.

Je reviendrai ajouter des items à ces deux listes, en attendant, je vous souhaite de bons JO !

 

Inspiration(s) et inspirateur(s)

Voici un autre grand mot sur lequel je n’ai jamais eu la chance quand j’étais adolescente d’être initiée, de discuter ni de comprendre vraiment.

En revanche, je suis allée inconsciemment et spontanément chercher de l’inspiration dans les personnes proches de ma vie du moment, comme certaines de mes institutrices, comme les champions de tennis tel John Mc Enroe, comme des acteurs, que je regardais sans l’avoir voulu, sur la TV en N&B ou des danseuses comme celle du film Flashdance !

Screenshot

Aujourd’hui, ce qui m’inspire est toujours du ressort de l’humain -qui est sans limite-. Rafa et Roger m’ont inspirée. Ils le peuvent encore d’ailleurs.
Adulte, j’ai ajouté une belle personne à admirer :  Maria Montessori -mais je ne suis pas dogmatique pour autant-.
Puis, j’ai rencontré une très grande source d’inspiration :  la Nature avec un N majuscule. Elle est bénéfique, éternelle, forte et elle me ressource.

Voici donc quelques sources d’inspirations qui me rassemblent, me guident, me rassurent et me construisent.

Nos sources d’inspiration sont autour de nous. Mais nous sommes aussi des sources d’inspiration.

Alors qu’est-ce qui vous inspire ? Qu’inspirez-vous aujourd’hui ? Qui inspirez-vous ?

 

 

Vous écrivez une partie de votre histoire

Vous écrivez chaque jour une partie de l’histoire de votre vie.

En tous les cas, la plupart des paragraphes. Certains vous sont imposés par le force de Dieu, de l’Univers ou une autre force dans laquelle vous croyez.

Certaines lignes vous sont imposées comme celles de rencontrer des personnes, que vous le vouliez ou non, car vous ne pouvez choisir.

Mais tout le reste, cad, les environnements, les événements, les attitudes, les personnes fréquentées, etc. c’est vous qui choisissez.

Alors écrivez de beaux paragraphes sur le livre de votre vie !

Et faîtes comme ce Palomena prasina (Linnaeus, 1761) posez-vous où vous le souhaitez, adaptez-vous à l’environnement et tirez le meilleur du suc de la vie.

On achète du marketing et pas des produits

Récemment j’ai acheté une boîte de jolies cartes d’oracles. Elles sont de couleur claires, avec un bord dorées et puis douces au toucher.
La forme me convient donc +++

Sur le fond, c’est une autre histoire et je l’ai découvert  seulement après avoir acheté la jolie boîte. Je vous explique mes pensées :

1) Ce sont des cartes numérotées. On se demande bien pourquoi ? Et ce n’est pas expliqué sur la boîte.

2) Il y a un mot puis un petit paragraphe de quelques phrases. Et là, on se perd complètement dans des mots jetés n’importe comment sans une réflexion profonde réelle.

Prenons par exemple la carte N° 13 sur le PARDON.

Un thème  indispensable à chacun souhaitant se connaître et connaître les autres.

– « Je quitterai cette vie en m’étant tout pardonné »
Le verbe « se pardonner » est ici réflexif. Certes on peut en effet se pardonner à soi-même ce que l’on fait. Mais on peut pardonner aux autres ce qu’ils font. A mon sens c’est tout aussi important, voire difficile.

– L’adverbe TOUT est radical dans la phrase. Tout pardonner est-il possible et louable ?

– Vient ensuite une liste, bien trop longue, de substantifs dont il faudrait connaître et donner le sens, mais ce n’est pas le but dans l’utilisation de ces cartes d’ORACLE :

BASSESSES
FAIBLESSES
PEINES
REMORDS
CULPABILITES
ERRANCES
EGAREMENTS
INCERTITUDES

Est-ce qu’on doit se pardonner ses faiblesses, ses incertitudes ?

En l’occurrence je pense qu’on est dans le domaine des incertitudes avec tous ces mots mis à la queue leu leu.

L’homme est fait de faiblesses et incertitudes, ou alors c’est un dieu.

« Le pardon est le baume de guérison infini qui hisse le coeur de mon humanité ».
En fait, j’ai l’impression que c’est une IA qui a écrit les textes. On a plein de mots, la plupart positifs, assemblés ensemble dans des phrases grammaticalement correctes. Mais sur le sens donné à la phrase, c’est glissant et l’effet produit est limite malaisant.

« Infini » est en italique. Pourquoi ? Il est au masculin, donc s’applique au baume. Un baume infini ? Kesako ?

« Le coeur de mon humanité » :  Le coeur dans l’acception de centre ?  ou mon coeur (organe physiologique ou organe d’amour de mon humanité ?).

Bon voici la fin de mon analyse sémantique de la carte du PARDON.
Je n’aime pas ces cartes qui me donnent un sentiment de vite faites, pas réfléchies.

….

Le pardon est un thème ancestral sur lequel les plus grands penseurs ont réfléchi mais aussi les hommes et femmes plongés dans des situations graves où le pardon était en question.
Sa sainteté le Dalaï Lama, en est un exemple avec le conflit sino tibétain.

Son credo sur le pardon s’appuie sur la théorie de l’interdépendance -reprise par Maria Montessori dans ses classes pour enfants âgés de plus de 6 ans-.

Allez je me lance dans une proposition de carte d’ORACLE -car je m’autorise à critiquer quand je propose en regard-.

PARDON

Je pardonne à moi-même mes actes et mes pensées.

Je pardonne aux autres  leurs actes et leurs pensées.

Je m’ouvre à la compréhension du Monde qui est une interdépendance universelle.

Cette interconnexion accroît ma compassion.

Vous aussi, proposez-nous la vôtre !

 

Nyad, une nageuse exceptionnelle !

Cette semaine j’ai découvert le film retraçant l’exploit sportif réalisé par Nyad, la nageuse américaine.

Je vous recommande ce film bien que j’ai été un peu déçue par la prestation de Jodie Foster, une actrice que j’apprécie depuis longtemps.

La 2e partie du film est plus intéressante que la 1ère et dès lors que Nyad se lance à la conquête de la traversée de Cuba à Key West, nous sommes dans son sillage.

Le rôle du coach mental et physique apparait clairement dans cette exploit atteint après de nombreux doutes et tentatives.

A découvrir !

Pour ceux qui veulent en apprendre sur cette femme, après visionnage du film (ou avant): https://diananyad.com/

 

 

Tenir grâce au mental

Face à l’envahissement massif dans nos vies (en pays dits civilisés), d’une part des informations, d’autre part des « écrans », un mental fort s’impose de plus en plus comme la seule solution de vie saine et équilibrée.

Analogie : les plantes invasives (elles envahissent un environnement et lui sont néfastes)

Voici mes conseils en tant qu’éducatrice du mental :

– un unique accès  quotidien aux médias, que vous prenez le soin de choisir avant
Cad que vous consultez un seule fois le fils d’informations sur votre ordinateur, ou le fil d’informations sur votre téléphone, ou que vous écoutez la radio une seule fois ou regardez la TV une seule fois ou lisez un journal une seule fois. Quant aux réseaux sociaux, le mieux serait de les éviter un maximum. Sans cela vous ne pourrez vous centrer sur vous et ce que vous faîtes. C’est comme pour votre alimentation, si vous prenez du sucre dans chaque plat, à quoi bon prétendre manger équilibrer. Notre organisme n’a pas besoin de beaucoup de sucre pour fonctionner. Il en va de même pour se tenir informer, pas besoin de se gaver de mauvaises informations.

– une activité physique à l’air libre au moins une fois par jour
Marcher dans un parc avec des arbres est donc le minimum à effectuer.

– un temps de vrai silence par jour
Un casque sur la tête avec de la musique douce ne comptera pas bien sûr. La notion de silence n’a pas de compromis. Celui-ci peut vous ramener vers vous, tel est l’enjeu de se faire du bien et de repartir à l’action.

– boire de l’eau pure sans additifs quelqu’ils soient
L’eau permet à nos cellules de se régénérer sans altération. Rappelez-vous que tout ce que vous mangez et buvez à un effet sur votre organisme. Et ca commence par les papilles dans la bouge.
Tout comme tout ce que vous voyez , entendez, sentez

– au moins une respiration profonde et consciente toute les heures

– un sourire ou rire toutes les heures

– une rencontre minimum avec une personne positive et des échanges alignés sur vos pensées

Avec cette ordonnance quotidienne appliquée, vous avez une belle chance d’aller bien mentalement, ce que je souhaite à chacune et à chacun.

 

Que pouvons-nous sur les mécanismes psychologiques humains ?

Récemment et contrairement à ma déontologie, j’ai publié un post sur l’un de mes blogs avec un titre alarmant commençant par « le déclin de… »

Hélas (si je puis dire), j’ai eu plus de lecteurs que d’habitude. Cela signifie-t-il qu’il faille oublier les communications positives ?

Quel ressort humain se cache là-dessous ? Nous nous informons pour notre survie autant que pour notre joie ou notre soif de savoirs.

Nous ressentons la peur et pensons anticiper parfois des situations en étant informés. C’est logique et cela nous pousse à cliquer sur une annonce alarmante plutôt que le contraire.

Pour être lu, il faut publier des articles, faire des vidéos, écrire des livres qui choquent, font peur et manipulent l’esprit des gens. Certains l’utilisent quotidiennement.

Ce que je ne me résous pas à faire, sauf exception. Et je continue à refuser les publicités, les articles et les livres négatifs. Tant que j’en ai encore la liberté individuelle !

Et vous ?

 

 

 

Biais commercial

Etant trilingue, je manipule souvent les 3 langues dans mon quotidien personnel ou professionnel.
J’utilise comme beaucoup de personnes les outils les plus accessibles, en l’occurrence, Google translate en est un.
Je suis souvent étonnée des propositions et ce matin, voici une preuve de l’orientation commerciale de Google. (On n’avait pas de doute mais c’est toujours bien de le voir en direct n’est-ce pas ?)

A la traduction proposée pour le mot carnet. – Etant donné mon âge, un carnet est encore en papier.  Je ne sais quelle est votre représentation derrière ce mot de vocabulaire ?- Google  propose « computadora portatil » !!!!! (désolée pour l’accent manquant sur le a), ce qui signifie pour moi « ordinateur portable », non ?

D’un autre côté, je pourrais  utiliser un dictionnaire en papier, me diraient certains ? Je ne suis pas rétrograde et je n’ai pas toujours ma bibliothèque à portée de mains. Alors j’utilise mon téléphone ou ordinateur.

Pour Google,  un carnet est avant tout électronique . On aura compris pourquoi. C’est comme si  on demandait à un vendeur de voiture français de traduire le mot « voiture » en espagnol : il dirait Renault et pas coche -)

 

 

A nasty opponent

Quand de grandes championnes parlent de leur plus difficile opposant : le cancer.

J’ai relevé quelques phrases pour vous (et certaines sont discutées en séance de coaching).

« It was definitively not a competition…

Cancer is a nasty opponent…

You control your career, you can control certain things in your life but you  cannot control cancer…

To be master of your destiny…

You’re not special…

We’re in the trenches together… »