Inspiration(s) et inspirateur(s)

Voici un autre grand mot sur lequel je n’ai jamais eu la chance quand j’étais adolescente d’être initiée, de discuter ni de comprendre vraiment.

En revanche, je suis allée inconsciemment et spontanément chercher de l’inspiration dans les personnes proches de ma vie du moment, comme certaines de mes institutrices, comme les champions de tennis tel John Mc Enroe, comme des acteurs, que je regardais sans l’avoir voulu, sur la TV en N&B ou des danseuses comme celle du film Flashdance !

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Aujourd’hui, ce qui m’inspire est toujours du ressort de l’humain -qui est sans limite-. Rafa et Roger m’ont inspirée. Ils le peuvent encore d’ailleurs.
Adulte, j’ai ajouté une belle personne à admirer :  Maria Montessori -mais je ne suis pas dogmatique pour autant-.
Puis, j’ai rencontré une très grande source d’inspiration :  la Nature avec un N majuscule. Elle est bénéfique, éternelle, forte et elle me ressource.

Voici donc quelques sources d’inspirations qui me rassemblent, me guident, me rassurent et me construisent.

Nos sources d’inspiration sont autour de nous. Mais nous sommes aussi des sources d’inspiration.

Alors qu’est-ce qui vous inspire ? Qu’inspirez-vous aujourd’hui ? Qui inspirez-vous ?

 

 

Un livre sur le mental pour les tennismen

Je vous conseille la lecture de ce petit livre très sympa.

L’auteur a édité toute une série de livres avec « the inner game of » en début de titre. Je le trouve très intéressant.

Multipliez les lectures et les échanges avec des personnes proches de nos centres d’intérêt, cela fait du bien à notre intelligence et si le sujet  de vos lectures est le mental, il bougera forcément.

« 5ème set », un film français sur le tennis

Hier soir, j’ai regardé le film « 5ème set » de Quentin Reynaud.

La prouesse tennistique de l’acteur Alex Lutz est admirable.
Je reste sur la fin, sans jeu de mot, puisqu’il n’y a pas de fin réelle  :  on ne voit pas retomber la balle de match.

Le scénario est facile, mon fils de 13 ans a pu en apprécier la fluidité.
Pour ma part, j’ai trouvé cela trop lent et sans surprise. J’ai l’impression qu’il y a une inspiration du film sur Borg qui, en dépit de sa lenteur, captait plus l’attention.

Le sujet de « l’environnement et de l’ambiance » du sportif est très cliché et vieillot. C’est la mère qui a une emprise sur le sportif et c’est la femme qui plombe la vie de son mari. On n’est pas convaincus par ce discours car aller chercher Roland Garros demande en réalité beaucoup plus que ce qui est décrit actuellement. Il faut mordre ! Et le personnage est tout sauf mordant.
Il faut une équipe, et là, même l’entraineur sportif est une guimauve.

Chacun interprétera ce qui est décrit. Pour ma part, je pense que c’est surtout le mental du sportif, et non pas l’environnement et l’ambiance qui priment.