Pub de la FFT sur le mental

Quelle joie de constater qu’enfin un monde s’ouvre aux réalités d’une des caractéristiques humaines : un cerveau et des pensées qui y naissent.

La FFT a fait un clip publicitaire pour le montrer en juin 2023.

(Je suis en train de rédiger un livre sur la vérité du tennis français.  « Les dessous de tennis français« . A paraître en 2024. Année forte pour moi car je fêterai une décade de plus.)

Eh oui, tout est mental.
On nous ne le disait pas jusqu’à maintenant, nous le dira-t-on à l’avenir ?
Les politiciens (et les businessmen) le savent bien. Il faut convaincre les gens. Cela signifie mettre dans leur tête ce qu’ils souhaitent qu’ils aient, ce qui les arrangent.

Du style :

« L’école est obligatoire » Non c’est l’instruction.

« L’éducation nationale », Non, elle ne veut pas éduquer et seulement instruire.

« Le tennis pour tous », Non, il n’y a pas assez de cours disponibles pour qui veut apprendre ou progresser.

« Nous serons toujours à vos côtés » Pub de la banque BNP Parisbas. Non, une banque minable sans aucun interlocuteur valable.

Je m’arrête là car vous avez vous aussi de nombreux exemples quotidiens du même acabit.

Demain sera mental. Orientons-le dans la bonne direction. Celle de la connaissance, de la santé, de la vie.

 

 

 

 

Un instant de joie

Petite joie de la journée provoquée par Dame Coccinelle, qui se fait de plus en plus rare, dans nos jardins.

Apprécier des instants uniques et magiques, telle est la recette de la fluidité bien-être.

 

 

Nous sommes artiste et maître

 

J’ai suivi ma formation au coaching mental auprès de l’organisme TRANS FAIRE. J’ai eu la joie de découvrir les apports que j’ai beaucoup aimé de François Ducasse et de Makis Chamalidis.

Plus particulièrement leur concept d’artiste et de maître, nos deux personnages intérieurs .

En nous sommeillent ces deux entités qui s’expriment en fonction des événements extérieurs.

N’écrasons pas ces potentiels et permettons-leur de s’exprimer dès la naissance de l’individu.

 

 

Etre aligné

Que signifie ce terme « être aligné » ?

Je vais vous en donner la signification au travers de mon expérience personnelle.

Je suis allée le mois dernier à Boston (USA) pour me rendre à des conférences professionnelles internationales. Cela fait deux décennies que je fais cela. Cela me permet d’être alignée avec le secteur professionnel dans lequel j’évolue.

Imaginez une salle avec plusieurs milliers de personnes qui travaillent dans le même secteur que vous. Elles sont venues de loin et de moins loin pour assister à des présentations, en même temps que vous !

Voici mes objectifs attendus en allant à ces conférences :

– rencontres d’autres professionnels (grâce aux stands, aux moment des repas, dans le show-room, etc) dont certains que je connais depuis 2002 !

– écoute de conférences (au choix parmi plusieurs centaines de thèmes) sur des sujets actuels

– observation de terrain (par la visite d’une école durant toute une matinée)

– RDV pour des entretiens (pour présentation de mes produits)

– compte-rendus et partages une fois de retour

– continuité dans les relations déclenchées ou qui perdurent

– continuer à pratiquer mes 3 langues (dans mon secteur professionnel)

– et surtout moment de retrouver ma collègue puisque nous y allons ensemble (alors que nous travaillons en mode remote tout au long de l’année).

C’est un élan professionnel important pour moi. Il me porte et me permet d’être alignée avec les personnes rencontrées et toutes celles qui sont présentes. Cela déclenche un sentiment de confiance en soi, de maîtrise de son domaine et de perspective d’évolution. On reste dans le coup, comme on dit en français. Et cela grâce à des actions concrètes comme celle d’un voyage vers des conférences internationales.

Et vous, avez-vous ce sentiment parfois d’être aligné dans votre posture professionnelle, ou d’être aligné avec vous-même tout simplement ?

 

Tenir mes objectifs, séance d’auto-coaching !

Nous sommes au 59e jour de l’année 2023.

Où en sont mes objectifs ? Je regarde les curseurs que j’ai pu mettre en place. Sans eux, je ne saurais où j’en suis de mon objectif sur les séances de stretching/yoga.

C’est bon, je tiens le rythme.
25 séances quotidiennes sur 59 jours, cela fait à peu près 42%. Ou alors presque 3 jours sur 7.

Je sais qu’il ne faut pas que je me relâche trop car sans compter que les chiffres s’effondreraient, c’est aussi ma forme qui en pâtirait.

Ce qui me tient mentalement : des pensées. Celles-ci soutenues par une organisation alignée : j’ai le lieu aménagé et j’ai le temps dans mon agenda pour mener à bien mon objectif.

Je saurais  m’occuper des grains de sable qui arriveront, car il y en a toujours. J’ai par le passé, prouvé que je pouvais être agile et aménager les situations pour ne pas perdre  de vue mon objectif.

Je continue et je réussis.

 

 

 

Tout salaire mérite travail !

« Ma chaudière est tombée en panne, vendredi soir. 2 jours sans chauffage, en plein hiver ! Et puis lundi matin, le dépanneur est chargé de toutes les pannes du week-end, alors viendra quand il pourra mardi au mieux ! »

« Mon fils s’est coupé le doigt, les urgences du samedi soir étaient surchargées. Nous avons attendu 4 heures. »

« Je devais visiter un appartement mercredi dernier mais le clerc de notaire ne travaille pas le mercredi, il s’occupe de ses enfants. C’est bien, mais moi je dois poser un jour de congé pour visiter les autres jours de la semaine. »

On ne peut continuer de la sorte, à diminuer les temps de travail et les répartir selon ce qui arrange le travailleur. Personne ne veut travailler la nuit, pendant les vacances, tôt le matin ou en hiver, ni faire les 3/8 !

Et pourtant le vie, elle continue. 24h/24. Sans interruption.

Alors, si on veut qu’elle continue dans de bonne conditions, il faut trouver une autre solution que celle de ne pas travailler le mercredi ou le vendredi après-midi.

Disons que les semaines n’existent plus telles qu’on les conçoit et que chacun travaille 4 jours sur 7, toute l’année (hors semaines de congés payés qui je le rappelle sont les plus longues en France).

Nous gagnerions tous, car il n’y aurait pas interruption de services.

Raisonner et ne pas se laisser endormir, est essentiel. Nous pourrions sombrer vers une instabilité. Les relations humaines reposent sur un équilibre et un raisonnement. Et sur le partage, des tâches comme des loisirs.

La semaine des 4 jours, ok mais cela signifie que partout des personnes sont absentes de leur poste de travail. Car notre société ne permet pas d’embaucher des travailleurs seulement pour le mercredi ou le week-end.

Les femmes ne pourront plus accoucher quand le travail se déclenchera, les blessés ne seront pas soignés le week-end ou la nuit, les restaurants seront fermés le soir etc…

Travailler ce n’est pas seulement gagner de l’argent, c’est participer à une communauté humaine qui s’équilibre car est reliée.

 

Se faire du bien sans se faire du mal

Aujourd’hui, je voudrais parler de ce qui vous fait du bien sans faire du mal.
Avez-vous votre liste personnelle de tout ceci ?
Pour aller bien, se connaître est primordial .

Alors éteignez les canaux d’informations, arrêtez de grignoter sucré, gras et salé. Evitez alcools et drogues et faîtes la liste des réelles bonnes choses qui vous font du bien pour de vrai :

– Marcher dans la forêt
– Ecouter de la musique douce
– Faire une douce séance de sport
– Parler avec quelqu’un qui vous écoute
– Lire un bon roman ou une bonne BD
– Aller vous promener sur une marché, dans une galerie d’art…
– Faire une activité que vous aimez (bricolage, jardinage, cuisine, artisanat…)
– Faire un calin à une personne que vous aimez
– Répéter des mantras
– Etudier un domaine qui vous attire
– Danser, chanter, lire à voix haute
– Rire et faire rire
– Respirer le bon air
– Ecrivez…
– Etc…

Ecrivez votre liste perso, et affichez-la quelque part dans votre chez vous, pour la consulter très souvent -)

Partagez votre liste perso avec nous, si le coeur vous en dit.

 

CNV ou Affirmations Positives

Cette semaine, Caroline avec laquelle je travaille en consulting pédagogique, a fait une intervention sur la CNV (Communication Non Violente) à la demande d’éducateurs Montessori d’une école en Floride.

Savez-vous ce qu’est la CNV ? J’en entends parler depuis des années, comme on parle « des émotions », « de l’empathie » ou « de la résilience ».

L’intervention de Caroline était très complète, et présenter cette méthode en une heure est un vrai challenge.

En tant que coach mental, formée en France avec des intervenants plutôt sportifs, j’aborde la communication qui est une partie de l’accompagnement.

Observer et écouter son langage corporel et son langage phrasé et une base de travail sur soi-même.

Je propose la communication positive. Et donc la Communication Non Violente, s’appellerait la Communication Positive dans mon jargon de coach.  N’oublions pas que le cerveau est influencé par ce qu’il voit et entend et il a une réaction aux formules négatives.

« Ne parlez plus ! » versus « J’aimerais que vous m’écoutiez. »
« Ne laissez pas trainer vos affaires !  » versus « J’aimerais que la classe soit rangée. »
« Je suis nulle » versus « Je suis déçue par mes résultats mais je vais faire mieux. »

Vous connaissez peut-être la blague sur ce que mangent les vaches, à laquelle quasiment tout le monde répond « du lait » après que le raconteur ait emmené son auditoire sur une fausse piste de pensées ?

Evitons les mots négatifs et les formes négatives dans notre communication vis-à-vis de nous-même et vis-à-vis d’autrui. C’est une déconstruction pour la majorité d’entre nous. La reconstruction n’en sera que plus  bénéfique.

Quelles sont vos formules langagières négatives ? Moi, je dis souvent « sans doute » alors que je devrais dire « je suis sûre ».

Quelles sont vos affirmations positives ?  Moi, c’est « je suis dans la fluidité bien-être ». Si vous êtes en panne de formulations, je vous conseille de faire connaissance avec Mme Louis Hay, une canadienne, championne de la vie en positif !

 

 

Les émotions de Novak

J’ai eu la joie de regarder en direct ce matin le match qui opposait Novak à Stefanos au grand chelem de l’Australian Open de Tennis.

A l’issue d’un match correct, dirais-je pour en avoir vu des centaines, j’ai eu la surprise de voir un Novak se décomposer devant tout le public.

Pourquoi, cet athlète, ordinairement si sûr de lui, s’est-il écroulé  psychologiquement et -aussi physiquement– ce matin ?

Je ne pourrais répondre à sa place. Et même la réponse qu’il nous donnera ne sera pas forcément le reflet de tout ce qui s’est joué intérieurement à ce moment-là pour lui. Mais je réfléchis à ce que j’ai vu.

Notre passé, nos pressions extérieures et intérieures présentes et notre futur sont en nous à chaque instant. On apprend à les vivre pleinement et positivement grâce à des techniques de gestion du mental. Mais parfois, « tout déborde » et on ne peut plus contrôler.  Alors ça coule, on suffoque, on s’écroule.

Novak, grand athlète expérimenté,  s’est écroulé en larmes. Il est passé de l’état très tendu à un relâchement subit. Il avait du mal à respirer, il était allongé sur le sol tentant de reprendre son souffle et ses esprits.

En général les joueurs n’ont qu’une échappatoire intime possible : se cacher dans sa serviette de toilettes, pour pleurer, crier, grimacer et évacuer ce que le corps et le mental encaissent durant un match (et accumule sur des années, des semaines, des jours, des heures).

Etre champion, c’est vivre tout cela, face aux caméras du monde entier.
Novak est un champion exceptionnel, et c’est aussi un homme.

Il pleure, il a peur, il s’écroule et il se relève la tête haute, pour repartir de plus belle !

Merci à tous les champions qui nous font rêver et bravo à eux de dépasser tout.  Ce sont des phares dans nos tempêtes humaines.

 

 

 

 

Ne pas laisser le monde environnant nous emprisonner

Chaque jour, j’entends et je vois des jeunes et des moins jeunes prendre pour argent comptant ce qu’on leur dit, ce qu’on leur montre. Surtout sur les écrans.

Sans devoir se méfier de tout en permanence; plus que jamais, un étalon est nécessaire pour jauger nous-mêmes le monde environnant.

Transmettre de la peur, c’est simple, il suffit de crier « attention » envers quelqu’un est c’est fait, elle a sursauté de peur.

Transmettre de la confiance, c’est plus long, difficile, surtout parce que moins habituel en général.

Comment transmettre de la confiance ?

0) Il faut que l’émetteur ait envie de transmettre de la confiance

1) le cadre est la deuxième pierre de cet édifice

2) le contenu et le contenant détermineront le degré de confiance que VOUS déciderez d’y accorder

Par exemple.

Je vois une vidéo d’un pêcheur maritime français qui explique qu’il ne peut plus partir en mer car sa police d’assurance est trop élevée.  Le montant s’élève à 6000€ par an.

L’interview est réalisée sur un beau plateau de télévision, moderne avec des spots qui reluisent sur le front du pêcheur, qui est très à l’aise au demeurant et porte même une cravate et une grosse montre en or ! Le protagoniste nous abreuve de chiffres élevés, tellement élevés qu’il installe le doute dans mon cerveau de ménagère qui achète du poisson local et connait quelques pêcheurs actifs.
Il termine son argumentation télévisuelle en disant que « c’est la fin de la pêche artisanale en France » !

Je ne sors pas mon mouchoir car je ne VEUX en croire un seul mot. D’abord parce que ce serait fort dommage de balayer un métier ancestral et vital. Ensuite parce que je ne crois pas à cette démonstration de chiffres trop gros pour être vrais. Ce n’était pas un pêcheur, un VRAI.

Je me dis qu’il s’agit d’une annonce INTOX, un coup de projecteur sur le métier. Commandé par qui ? Pour qui ? Je ne le saurais que moi-même lorsque je demanderai aux poissonniers qui achètent à la criée aux pêcheurs de mon village.

Conclusion : éteignons nos écrans et allons voir, nous-même, sur le port ce qu’il s’y passe.