Selon Joseph Murphy, voici une définition du subconscient, complémentaire du conscient.
Pensées et croyances limitantes
Cette semaine, j’ai abordé le thèmes des pensées et croyances.
Qu’est-ce ? Quelles sont les différences entre les unes et les autres ?
Puis nous avons creusé les croyances limitantes et négatives.
Nous en avons tous, et l’objectif n’est pas de les supprimer (tout comme on ne supprime pas les émotions) mais de les accepter et de les modifier pour devenirs des croyances positives. Travail que je vous propose en tant qu’éducatrice du mental.
Un label de bientraitance et bienveillance
Je coache deux enfants dont la pression de l’entraineur sur eux (et sur les parents) est inimaginable. Les parents se sentent piégés car il n’est jamais simple de changer de club sportif. Les problèmes sont complexes car il y a bien sûr l’entraineur sportif en première ligne, mais il y a également les institutions en 2e ligne.
On ne parle pas assez de ces incidents hebdomadaires que subissent les enfants (et leurs parents).
Un enfant, âgé de 9 ans, m’explique que son coach de gymnastique s’assoit sur lui pour qu’il soit plus souple ! Quel adulte accepterait cela d’un autre ?
J’ai décidé de m’associer au travail d’un collectif d’éducateurs sportifs et d’éducateurs du mental qui défendent des valeurs que sont l’encouragement, l’écoute, la motivation, le respect de son corps et de celui des autres…
Force est de constater que certains entraineurs sportifs sont encore dans la posture de malveillance -j’en sais quelque chose en tant que mère de 4 enfants qui ont pratiqué beaucoup de sports- en étant autoritaires, impolis, abusant de leur mission, allant jusqu’à une maltraitance physique que les jeunes et les parents ne veulent voir.
Certes les medias relayent parfois des affaires de moeurs dans le patinage, le tennis, la natation ou d’autres sports. Mais on ne parle pas des milliers de jeunes qui subissent moqueries, insultes et autres malveillances psychologiques tout autant dévastatrices, de la part des autres sportifs mais aussi des entraineurs.
Si vous voulez rejoindre le collectif, adressez-nous vos coordonnées dans le formulaire ci-dessous.
La singularité
Depuis plusieurs semaines, j’accompagne une éducatrice Montessori et coach parental sur la singularité.
Elle a souhaité que nous exploriions ensemble ce sujet.
C’est pour mieux se connaître et affiner sa posture et son offre professionnelles.
Nous avançons afin qu’elle décortique son parcours personnel et professionnel (passé, présent et futur) et que puisse en ressortir quelque chose de clair et d’unique qu’elle peut facilement partager.
Cela a déjà un impact sur sa communication institutionnelle (logo, couleurs, nom…) et puis sur son positionnement et enfin sur son « mieux-vivre » son quotidien.
Et vous quelle est votre singularité ?
Mes coordonnées si besoin
En déplacement sur des tournois de tennis et de golf, on me demande mes coordonnées, les voici en couleurs !
Bonne idée
En accompagnant mon fils à la librairie pour acheter son magazine « Picsou », j’ai eu l’idée d’acheter un magazine sur le tennis. Bien mal m’en a pris car pour un prix très élevé de 12,50€ j’ai un « contenu » dont j’ose à peine vous parler tant ce serait négatif : des fautes d’ortographe à chaque paragraphe (voir photo), une critique sanglante sur Roger Federer, de la pub (sur les autres magazines du groupes qui n’ont rien à voir avec le sport !) et des photos de mauvaise qualité.
On ne m’y prendra plus, c’est sûr.
J’arrête là le négatif puisque je prône l’opposé en disant une fois de plus que nous avons tous besoin de coaching mental et les auteurs de ce torche « M » encore plus que d’autres (en plus d’une thérapie !).
Des « soit-disant » journalistes écrivent des articles avec plus de fautes que les élèves de classe primaire !
C’est la reprise ! Comment va votre mental ?
Alors que les masques tombent, le moral remonte, le mental aussi (faites-vous bien la différence ?). Enfin !
Cette semaine avec mes « coachés » on a parlé du « potentiel énergétique » dont M. Target nous fait la description dans son modèle systémique.
Ca tombe bien car Maria Montessori, elle, nous décrit « le potentiel humain « dans un des ses ouvrages.
Nous avons chacun « des potentiels », reste à les orienter et les exprimer.
Le coaching mental est là pour aider les enfants, les adolescents, ou les adultes, les sportifs ou non-sportifs à être autonomes, c’est-à-dire savoir repérer ce qu’il faut modifier, dans quelle direction, et comment le modifier.
Je vous invite à suivre ce chemin ensemble.
La stratégie de Djoko
Tout à l’heure Djoko est sorti en plein match de Roland Garros.
Ce n’était pas pour aller aux toilettes mais pour se changer de vêtements, cad pour faire peau neuve, mental neuf.
Il dit avoir remarqué que de changer ses sous-vêtements et vêtements lui permet de changer de mental (sensations, pensées et émotions), alors il applique.
Voici une clé sur le mental si important dans toute situation.
Pour changer l’intérieur, changez l’extérieur !
Ce que je comprends de la stratégie de Roger Federer
Avant qu’il en fasse l’annonce lui-même, sans doute dans les prochaines heures, et si j’ai bien compris la personne et sa stratégie, Roger Fédérer devrait déclarer forfait au tournoi de tennis de Roland Garros.
En effet, il a touché cette nuit ses limites du moment, en joueur professionnel, en passionné et en humain respectueux des autres et de ses valeurs.
Il va donc déclarer forfait, afin de, si son genou va bien, pouvoir s’aligner pour le tournoi de Wimbledom, qu’il affectionne plus que celui de RG.
Bravo en tous les cas à cet athlète, modèle hors pair, selon moi.
Encore de belles opportunités de préparations mentales
Les athlètes nous montrent combien la préparation mentale est de plus en plus indispensable tant les pressions extérieures (et intérieures) sont élevées et nombreuses.
Cette semaine, l’abandon de la championne de tennis japonaise durant le tournoi de Roland Garros 2021 pour cause multiples (elle semble dépressive et génée par les obligations sociales) nous apprend que sans mental on ne peut s’aligner à une compétition.
La mort dramatique du pilote suisse Jason Dupasquier, 19 ans lors d’un grand prix en Italie, la semaine dernière a tant secoué, que les sportifs ne peuvent piloter le lendemain tant leur charge mentale est grande.
Nul ne peut se passer d’éducation mentale.