La synchronicité

J’ai lu un excellent article sur les synchronicités dans Alternatif bien-être du mois de décembre 2021.

Le terme a été inventé par Carl Jung  en 1946. Lors d’une séance d’analyse avec une patiente, le médecin ouvrit la fenêtre à la demande de sa patiente qui lui racontait son rêve et aperçut un scarabée doré, animal décrit dans le rêve au même instant !

« La synchronicité est l’occurrence simultanée de deux événements qui ne sont pas reliés par un lien de causalité mais pas le sens. » CJ

Tout le monde vit des synchronicités. Ce sont des espèces de coïncidences fortes qui déclenchent  un mélange d’étonnement et d’émerveillement. Il semblerait qu’elles soient dues à la circulation des quantités colossales d’informations dans notre Univers qui à certains moments entrent en résonance entre elles.

Il s’agit ici aussi, de nos croyances,  et de nos sensibilités.
Ma synchronicité est unique et je ne peux la partager et mon voisin ne la ressentira pas forcément, au même endroit au même moment.

 

 

Noter pour voir et comprendre

Si vous voulez progresser vraiment, quelque soit le domaine, un suivi précis de ce qu’il se passe est une grande aide.  Car sans prendre de notes, on ne peut se rendre compte factuellement de  la trajectoire effectuée.

Les enfants aiment revoir leurs cahiers ou dessins des années précédentes. Cela les fait sourire et leur permet de rester connectés avec leur  état d’enfance précédent. Nous aussi, adultes, aimons revoir certains événements de notre histoire.

Avec une prise de notes régulières nous pouvons avancer plus  sereinement. Par exemple, vous pourriez noter vos entrainements physiques de la semaine. Utilisez une feuille de papier ou électronique pour enregistrer sur la période temporelle de votre choix. Vous notez superficiellement ou non. Ce  qu’il importe dans un premier temps c’est la fréquence de l’activité. Utilisez votre code couleur personnel. Moi j’utilise le vert pour les activités physiques, et mon objectif est d’en avoir 2 par jour.

Pour l’entrainement mental, c’est pareil. Noter vos exercices afin d’en voir la fréquence  et de l’augmenter si besoin.

 

Qu’est-ce que l’instinct grégaire ?

Un petit post sur les notions d’instinct et plus précisément d’instinct grégaire.

Rose-Marie de Casabianca l’a étudié chez les bébés. Dans son livre « éveil social avant  3 ans » elle cite :

« aversion à la solitude, besoin de se réunir, de se suivre, sans aucun autre bénéfice immédiat que celui de se  sentir ensemble »

Sur cette photo, on voit des personnes qui font du  yoga sur la plage. Au lieu de se  répartir, elles sont très proches les unes des autres. C’est l’instinct grégaire qui prend le dessus sur le bien-être à respirer, être éloigné les uns des autres.

Apprenons à  reconnaître le comportement des autres, pour nous connaître nous-même.

Schéma de voyage mental

 

Nous avançons en imagerie mentale avec Sophie actuellement et aujourd’hui, je lui ai présenté le schéma de « voyage mental » -proposé par Christian Target- auquel j’ai ajouté la « position méta ».
Ces outils permettent de nouveaux apprentissages ! Si on m’avait dit cela il y a quelques années, quand j’étais seulement éducatrice Montessori, j’aurais demandé tout de suite, comment c’était possible  ?

« 5ème set », un film français sur le tennis

Hier soir, j’ai regardé le film « 5ème set » de Quentin Reynaud.

La prouesse tennistique de l’acteur Alex Lutz est admirable.
Je reste sur la fin, sans jeu de mot, puisqu’il n’y a pas de fin réelle  :  on ne voit pas retomber la balle de match.

Le scénario est facile, mon fils de 13 ans a pu en apprécier la fluidité.
Pour ma part, j’ai trouvé cela trop lent et sans surprise. J’ai l’impression qu’il y a une inspiration du film sur Borg qui, en dépit de sa lenteur, captait plus l’attention.

Le sujet de « l’environnement et de l’ambiance » du sportif est très cliché et vieillot. C’est la mère qui a une emprise sur le sportif et c’est la femme qui plombe la vie de son mari. On n’est pas convaincus par ce discours car aller chercher Roland Garros demande en réalité beaucoup plus que ce qui est décrit actuellement. Il faut mordre ! Et le personnage est tout sauf mordant.
Il faut une équipe, et là, même l’entraineur sportif est une guimauve.

Chacun interprétera ce qui est décrit. Pour ma part, je pense que c’est surtout le mental du sportif, et non pas l’environnement et l’ambiance qui priment.

 

 

Pensées parasites et croyances limitantes

Nous avons tous des barrières mentales, et c’est normal. Ne pas en avoir serait inhumain.

Nous avons aussi nos façons personnelles de réagir face aux événements, et cela touche notre mental et qui commande notre physique. Certains vont rougir, d’autre déclencher une accélération cardiaque…. Il n’y a qu’à se souvenir combien notre coeur bat quand on est fou amoureux !

Alors des pensées limitantes, oui mais en accord avec ce que nous sommes vraiment et qui nous portent et ne nous desservent pas.

Des pensées parasites, oui mais que l’on transforme en pensées constructives, accompagnantes, réparatrices.

Ce travail est incessant, car l’homme se transcende, c’est aussi une de ses caractéristiques.

 

Imagerie mentale, quoi ? pourquoi ? pour qui ? comment ?

QUOI

Pour ceux qui me connaissent un peu, je pars souvent de la sémantique dans ma posture professionnelle quelle qu’elle soit.

Je rappelle que l’intérêt est de se mettre d’accord coacheur-coaché sur les mots. Personne n’a de vérité, et il faut un langage avec des signifiés adoptés par les deux parties.

Imagerie mentale, en coaching va se rapporter à tout ce qu’on crée dans sa tête et dans son corps. En effet on ne s’arrête au sens visuel.

Par exemple, si je vous décris la saveur gustative, l’odeur et le moelleux du cake au citron que ma voisine m’a offert mercredi, vous allez saliver et moi aussi, je salive de nouveau en vous écrivant tant c’était succulent !

Visualisation, est plus limité aux images visuelles que vous déclenchez.

Projection mentale, est d’un ressort plus large car il ferait entrer une notion temporelle de futur.

L’imagerie mentale est un geste que chacun effectue souvent dans la vie de tous les jours naturellement.

En coaching nous décortiquons ce geste mental afin de le comprendre et de l’utiliser à dessein.

Nous accompagnons le coaché dans une classification des imageries mentales et exercices.

Imagerie Mentale Associée
Imagerie Mentale Dissociée
Répétition mentale et Procédure mentale de correction (méthode Target)

POURQUOI

Quels sont les apports de l’imagerie mentale ?

  • outil de concentration
  • estime de soi, confiance en soi
  • correction de gestes et postures
  • apprentissage de nouveaux gestes

POUR QUI

Un sportif, un professionnel, un adolescent , chacun pourra profiter d’imageries mentales déclenchées…..

COMMENT

Les étapes préalables à l’imagerie mentale guidée, sont la respiration et la relaxation.

Il faut du temps pour tirer profit de l’imagerie mentale.

Un entrainement est indispensable, car on ne peut du jour au lendemain se l’imposer pour augmenter ses performances.

C’est un des rôles du coach mental de vous guider vers l’imagerie mentale.

 

Un Djoko épuisé tant mentalement que physiquement

Djoko a essayé, hier soir, de gagner « le » grand Chelem, cad les 4 grands tournois internationaux remportés la même année.

Et il a échoué. Je ne l’avais pas donné gagnant et je vous explique mes raisons.

Tout  d’abord, je crains qu’il ne soit épuisé depuis des mois, et pas de chance, cette année tombait sur les JO en plus du big chelem !

Ce qui a été étrange, c’est qu’il n’a pas rusé comme d’habitude, avec ses sorties de terrain (je rappelle que j’avais analysé bien avant les medias, cette tactique dont font fureur, les Tsitsipas and co désormais) pour aller aux vestiaires, ses sparadraps ou ses appels de kiné. C’est dire à quel point le match a été expéditif !

Je ne porte aucun jugement car je sais combien ces athlètes de haut niveau sont cassés de partout de l’intérieur coomme de l’extérieur et que sans une large équipe de professionnels, ils ne pourraient parvenir à leurs exploits.

Ensuite, la pression extérieure a été très forte et  exceptionnelle, nouvelle pour lui, et s’il avait été en pleine forme, il y aurait résisté, il a vécu pire dans le passé.

Là, non, Djoko n’est plus que l’ombre de lui-même, on le serait à moins.
Il ne pouvait faire face à tout à la fois et la chute fut rapide et décisive.

Bien entendu, ce n’est pas la fin de sa carrière d’athlète, c’était seulement une marche trop longue, une ascension à trop haute altitude.

Nous avons nous aussi, parfois, une marche trop haute qui s’impose à nous. Nous la tentons, forcés par le destin.
Parfois cela passe, parfois on se blesse sérieusement mais on repart à la rescousse dès que possible.

Cette marche c’est l’accident, le cancer, la trahison, la solitude, l’échec. Personne n’y échappe, les Djoko comme les autres.  Mais seul c’est bien plus difficile de se relever.

 

3 astuces pour contrer les blocages mentaux

 

By McVal OsborneMar 30, 2018

Whenever I talk to people about how they set goals for themselves, the first barriers they cite to progress are often their own mental roadblocks. They start off too optimistic, or too pessimistic. They put themselves down, or they forget to plan out the next steps in their head. Mostly, they forget to adequately prepare their mind for taking action.

There are various ways for tackling mental blocks and drains on motivation, but from my experience there are a few simple, straightforward tools that can help just about anyone overcome those mental blocks, if implemented properly. The following was inspired by Caroline Webb’s recent book ‘How to Have a Good Day’.

Here are the three mental tools that you can use to help destroy mental roadblocks and tackle your top priorities in less time:

1. Create mental contrasts

James Stockdale was a US prisoner of war in Vietnam for 7 years. During that time, he described the fact that prisoners who were overly optimistic about their chances or too pessimistic were less likely to survive than those who were able to balance their focus on the end goal while having a deeper appreciation of the challenges they would face.

As he puts it, “You must never confuse faith that you will prevail in the end—which you can never afford to lose—with the discipline to confront the most brutal facts of your current reality, whatever they might be.” This philosophy of duality has come to be called the Stockdale Paradox.

To this end, consider the value of creating mental contrasts in your daily life. Sure, you likely won’t be facing hardships like those faced by James Stockdale, but you may very well find opportunities to balance both a positive outlook on future goals with a realistic understanding of the challenges you will face.

“The greater the obstacle, the more glory in overcoming it.” – Moliere

One way of making sure you spend enough time focusing on strategic tasks which support your long term objectives is to balance positive thinking with negative. This means thinking about what is likely to get in the way of you achieving your goals so that you can address those issues head on without being blindsided by them.

This technique is called mental contrasting, and it requires holding both a positive outlook for the future of a task or activity while simultaneously looking holistically at the challenges and potential obstacles that stand in your way and will prevent you from reaching your goals.

You must balance faith that you will reach your goals in the end with the facts of the current (and often brutal) reality of the challenges you will face on a daily basis. Realistic idealism of this kind is important to drive action and help people achieve their goals. What’s important is that people simultaneously work to envision the goals they are striving for and the obstacles they are facing. The key is to plan for both so that you can weather any storm.

2. Prime your actions with the right thoughts and stimuli

Have you ever listened to a song that put you in a good mood which carried on through the day? Perhaps it made you feel more productive, more energetic, more likely to start a conversation with your colleague or that stranger down the hall.

What you associate with productivity and success can often be manipulated. Once one small part of your brain is activated in a positive way, you may be able to drive productive thoughts and activities throughout the day. This is often referred to by scientists as the spreading activation effect.

One way to drive your ability to tackle priorities is to prime your actions with the right thoughts and external stimuli. Consider the way your brain associates certain feelings with specific thoughts, images, ideas, etc. If you experience one positive emotion or sensation based on a certain stimuli (e.g. sitting in your favorite seat at your favorite coffee shop), you will subconsciously be more productive and more energised to take action and do more efficient work.

Unfortunately, this won’t happen every single time, but the more frequently you make these connections, the more likely it will be that these strong bonds are created. Neuroscientists say that “neurons that fire together, wire together”. Take this to heart as you consider which stimuli to expose yourself to as you consider the best way to stay motivated and focus on your objectives.

“The biggest obstacle to wealth is fear. People are afraid to think big, but if you think small, you’ll only achieve small things.” – T. Harv Eker

3. Conduct a mind’s eye rehearsal

Think about the last time you got ready to do something that was stressful or difficult. Perhaps it was preparing for a presentation or a speech or maybe you were psyching yourself up for a big race or a competition.

Research suggests that our brains activate in much the same way when we visualise something happening as when we experience it for real. If we visualise a speech going horribly wrong, or we envision ourselves tripping up at the starting block, chances are we won’t perform to our highest level when the time comes.

Practice makes perfect, and the more you visualise an activity in the way you would like to accomplish that activity, the more likely it will be that you can make that thing happen. Interestingly, the same neural pathways that are created when we repeat activities over and over again in the physical world are also created when we visualise those activities.

So, next time you want to get something done, consider rehearsing in your minds eye exactly what you want to get done, including every detail of the activity, and exactly what you want it to feel like when you accomplish your goal successfully.